Littératures / Critique et analyses

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Le grand Docteur Marco

 

Le numéro 291 de La Recherche (octobre 1996) contenait une belle nécrologie signée d’André Lichnerowicz, ancien professeur au Collège de France, en hommage à Marcel-Paul Schützenberger, membre comme lui de l’Académie des Sciences, mathématicien, statisticien et innovateur dans de nombreux domaines. C’était le portrait chaleureux d’un esprit à la fois profond et brillant (Lichnerowicz utilise, à juste titre, les expressions esprit paradoxal et gentilhomme de la science).

En 1995, déjà, les collègues et collaborateurs les plus proches de Schützenberger avaient rassemblés des articles formant un volume d’hommage, intitulé Mots, édité par Hermès sous la signature du très "marcovien" M. Lothaire, et dont la coordination était assurée par Alain Lascoux et Dominique Perrin.

Tous ces textes, rendaient justice au savant. Mais ils laissaient de côté plusieurs aspects de sa personnalité, qui s’étaient manifestés avant le début de sa carrière académique. Je voudrais combler ici cette lacune et faire connaître ainsi une autre dimension  de la vie de celui que nous appelions tous Marco.

L’hommage publié par La recherche était accompagné d’un très beau portrait, (une photographie signée J. Schmitt), de celui que ses amis appelaient, depuis longtemps, Marco. On ne peut manquer d’être frappé, en le regardant, par la ressemblance qui s’y manifeste avec deux personnalités marquantes de la première moitié de ce siècle : Marcel Duchamp et Roger Vailland. On pourrait voir, dans cette ressemblance, une sorte de signe.

 

Un passé recomposé

En 1944, la bibliothèque de la Sorbonne était un refuge idéal pour les étudiants : une température agréable, un calme assuré. Une étudiante en Physique, Noëlle Saunier, militante communiste, venait de s’emparer – revolver au poing – au secrétariat de la Sorbonne, du fichier des étudiants destinés au S.T.O. (Service du Travail Obligatoire en Allemagne), fichier qui contenait, entre autres, mon nom. Assis à l’une des longues tables de la grande salle, je lisais, rasséréné, Les tenseurs en mécanique et en élasticité, de Léon Brillouin. Mon voisin étudiait Lectures on Matrices, l’ouvrage classique de Joseph Wedderburn. Nous liâmes connaissance. Il s’appelait Jacques Riguet et se spécialisa, plus tard, dans la théorie des relations binaires et de leur "représentation sagittale", une anticipation de cette théorie des "graphes" à laquelle Claude Berge contribua de façon décisive et que Bourbaki négligeait.

Riguet me présenta à l’un de ses amis, également féru d’Algèbre (de la théorie des treillis, en particulier), mais qui préparait aussi sa thèse de médecine tout en étudiant le "mongol ancien" à l’Ecole des Langues Orientales (aujourd’hui INALCO). Marco – c’était lui, bien sûr – me présenta à son tour à Jean Suyeux, un étudiant en droit qui utilisait alors le pseudonyme "Ozeus Pottar" et animait un groupe artistique hétérodoxe : TRYLO (trio des langues O.) dont les autres membres étaient Robert Richard, agrégatif d’allemand… et Marco. Grâce à Pottar, je rencontrai, par la suite, Boris et Michelle Vian, Anne Vernon et Robert Badinter, le cinéaste amateur Freddy Baume, Francis Blanche et quelques autres (1).

A la Libération, j’appris que, pendant l’occupation, Marco avait travaillé pour l’Intelligence Service. Et comme Roger Vailland il décida, dès 1945, de participer à l’effort de reconstruction que nous proposait le Parti Communiste Français. Ses capacités d’organisation et son grand talent de polémiste l’amenèrent à prendre d’importantes responsabilités au sein de la section du Xème arrondissement. Il se dégagea assez vite du militantisme actif, mais demeura, dans tous les domaines un homme engagé (je me souviens des sarcasmes dont il gratifiait son ami logicien, le "trotskyste" Hilary Putnam… dont l’engagement politique n’était d’ailleurs pas tellement évident).

L’article de Lichnerowicz donne un bon aperçu de la carrière scientifique "officielle" de Marco. Mais une carrière n’est jamais qu’un fragment de vie, dont les meilleurs récits laissent souvent dans l’ombre des éléments essentiels. Ce sont ces éléments que j’aimerais, apporter dans ce qui suit, pour mettre mieux en évidence la richesse d’une vie qui, comme celle de Boris Vian qui l’admirait, fut véritablement multiple.

 

Le "docteur Schutz"

1944 est l’année des "surprises-parties". Libérés des contraintes du couvre-feu, étudiants et jeune bourgeois parisiens multiplient les soirées jazz et cocktails. L’animateur de ces soirées est souvent Jacques Loustalot dit "Le Major". C’est dans son entourage que se rencontreront Jean Suyeux, Boris Vian, André Frédérique, Jacques Riguet, Marco et moi-même. Le Major et Marco devinrent des personnages de plusieurs romans de Boris. Marco - sous le nom du Docteur Markus Schutz - est même le personnage principal (plus précisément l’"anti-héros") de Et on tuera tous les affreux, publié, en 1948, aux éditions du Scorpion, sous le pseudonyme de Vernon Sullivan, afin d’exploiter le succès de J’irai cracher sur vos tombes. Pottar (Suyeux) y fait lui-même une brève apparition. Poussés par lui, nous entreprîmes alors de passer du statut de personnages à celui d’auteurs. D’innombrables projets ainsi naissance dont plusieurs méritent d’être signalés :

- Torchefélon, drame en alexandrins signé "Trylo". J’y interprétais Philippe le Bel et la pianiste de l’Ecluse, France Olivia, était ma fille. La pièce fut représentée dans le sous-sol de l’Union Française Universitaire, place de la Sorbonne, sur l’emplacement du célèbre café Capoulade, devenu "Offizierheim" pendant l’occupation, et où mes camarades taupins du Lycée Saint-Louis avaient lancé une bombe (ils furent dénoncés et déportés)

Les petites vacances (j’avais imposé le titre, en hommage indirect à la comtesse de Ségur). Ce projet théâtral devint une pièce radiophonique, interprétée, entre autres par Boris et Michelle Vian (Boris jouait le rôle du "phoque Paulhan" - qui ne s’exprimait que par grognements et borborygmes2). France Olivia était l’"enfant événement", etc.. Pottar en avait écrit le texte et j’avais composé les chansons (3). Mais l’idée originale venait de Marco : « à quoi bon, - disait-il - se creuser les méninges pour inventer une intrigue originale? Choisissons au contraire une œuvre célèbre et effectuons un isomorphisme de sa structure! » C’est ainsi que l’auditeur averti aurait pu reconnaître, dans notre drame musical délirant, une variante (assez bien dissimulée, cependant), de Ruy Blas. Diffusée sur Paris Inter, cette œuvre suscita l’indignation des auditeurs et leurs protestations écrites.

- Le major chasse les vampires. Il s’agissait encore d’une pièce de théâtre qui intéressa beaucoup Michel de Ré, mais ne fut jamais représentée. Là encore, Pottar avait écrit le texte et moi la musique. L’inspiration était plus directement mathématique, sous l’impulsion de Marco. Il proposait simplement d’ajouter une contrainte à l’"axiomatique" orthodoxe de la littérature vampiresque (ail, miroir, croix, pieu, etc.). Cet axiome était le suivant : les vampires sont allergiques à l’alcool et ne peuvent donc pas sucer le sang des alcooliques. Mais ils sont familiers avec le théorème de Vito Volterra sur la lutte pour la vie (illustré par la fameuse histoire des lapins d’Australie) au point d’organiser de façon rationnelle le village dont ils s’étaient rendus maîtres : régime prohibitionniste et obligation de se rendre journellement au centre de transfusion sanguine. Les édiles (tous vampires) ne se réunissent que la nuit; on dépose chaque soir, sur le pas de leur porte, un petite bouteille de sang frais, etc. jusqu’au jour ou un étranger, le Major, alcoolique invétéré, remet tout en question. Il enivre les villageois et organise une chasse aux vampires qui sont tous empieutés… sauf un qui s’éclipse discrètement et nous laisse espérer de nouvelles transfusions !

- Bouliran cherche une piscine. Il s’agit ici d’un film, tourné (ou plutôt entrepris) en 1947 à la Maison des Sciences, alors rue des Ursulines, (célèbre par son Cinéma d’Essai) qui dépendait du Comité des Œuvres Sociales en faveur des étudiants et dont j’étais le directeur adjoint. Je devais d’ailleurs interpréter le rôle de Bouliran, président de la République et Riguet celui de Ragadère, son aide de camp. Ces patronymes, imaginés par Marco, évoquaient Bouligand, mathématicien très original et injustement oublié, et Paul Belgodère, bibliothécaire de l’Institut Henri Poincaré et cofondateur de l’Intermédiaire des mathématiciens. Marco était un policier à chapeau melon, Pottar un agent de police, Vian le chef des terroristes (Queneau et Michelle Vian ses complices), etc.. Le film fut subventionné (très modestement, on s’en doute) par le Ministère de l’Education Nationale. Une seule bobine fut tournée et est précieusement conservée par Jean Suyeux. C’est la première apparition à l’écran de Boris – et de Marco. Boris reviendra dans La Joconde, de Henri Gruel et Jean Suyeux (palme d’or du court métrage au festival de Cannes 1958), et dans plusieurs films de Pierre Kast.

Ci-après, l’affiche de présentation de ce chef d’œuvre inconnu (ou presque) :

- d’autres "petits opéras" furent créés, au cours de ces années, grâce à Jean Tardieu qui dirigeait le Club d’Essai de la Radiodiffusion Nationale, et à François Billetdoux, producteur de l’émission, avec le concours des "Quatre Barbus". Marco participa, entre autres, à la conception de Parmentier (où ses connaissances en botanique firent merveille) et d’Archimède. Il en écrivit une bonne partie des lyrics (que j’ai conservés). Michel de Ré avait envisagé une distribution qui comprenait Robert Manuel dans le rôle du roi Louis XVI et Jean Rochefort dans celui de Parmentier dont Martine Sarcey (ou Lucie Dolène) devait être la fiancée. Parmentier devint aussi un spectacle de marionnettes dans le cadre d’une tournée organisée en Afrique du Nord par le grand photographe (et militant communiste) Roger Pic qui avait dessiné et construit les marionnettes et les décors..

Les formes de l’information

Albert Châtelet, père du philosophe, avait obtenu la création, à la Faculté des Sciences de Paris, d’une chaire d’Algèbre et théorie des nombres. Les premiers titulaires du certificat de licence correspondant furent Schützenberger et Riguet (j’obtins le diplôme l’année suivante). Châtelet s’intéressait particulièrement à la théorie des "treillis" (une famille de graphes permettant la définition d’opérations algébriques généralisant celles de la logique booléenne) (4). Nous nous intéressions aux démonstrations diverses du théorème de Jordan-Hölder. Mais nous étions surtout très impressionnés par le "Bourbakisme" naissant, fascinés, en particulier, par le concept d’"échelle de structures" et cherchions à développer ce que nous appelions une "anatomie" et une "physiologie" des structures mathématiques. Ces préoccupations furent à l’origine de la première contribution très originale de Schützenberger : le "lemme de clivage" (1947), un résultat dont l’importance a été très sous-estimée à l’époque.


C’est Jacques Riguet et non René de Possel qui marche à gauche de Marco.

            Au sortir de l’X, Benoît Mandelbrot se joignit à nous. La thèse de Marco : Contribution aux applications statistiques de la théorie de l’information fut publiée en 1954 et celle de Benoît : Contribution à la théorie mathématique des jeux de communication, le fut l’année suivante, dans les Publications de l’Institut de statistique de l’Université de Paris.

Comme on le sait, leur carrière mit un certain temps à se préciser. Marco, en fut recruté par l’Organisation Mondiale de la Santé afin d’étudier l’épidémiologie du pian, maladie vénérienne qui sévissait à Java. Il fit ainsi la connaissance d’Ariati qui allait devenir sa femme et lui permit d’échapper aux massacres de "communistes" ordonnés par Suharto.

Je devins ingénieur au Commissariat à l’Energie Atomique, mais ne renonçai pas à la chanson (aux Trois Baudets en 1953, puis à la Fontaine des quatre saisons, en 1957-1958) (5).

Une hétérodoxie constante et consistante

Avant Marcel-Paul, il y eut Marcel (Duchamp) et Paul (Feyerabend). Du second, Marco connaissait et appréciait les Thèses sur l’anarchisme épistémologique (un texte de 1973 dont la traduction parut dans Alliage numéro 28, Automne 96). Feyerabend y soulignait l’analogie entre sa démarche et celle de Dada.

Dans le même numéro, Lévy-Leblond, lui aussi, opposait à une culture artistique toujours consciente de son passé et y faisant référence (même pour en prendre le contre-pied),  l’amnésie d’une science qui manifeste souvent un oubli délibéré de sa propre histoire : elle ne se conjugue décidément qu’au présent parfait! Il s’interroge alors sur une possible “démarche duchampienne” qui nous guérirait de cette « crise profonde de la science ». On notera que sur la première de couverture du second ouvrage de Feyerabend traduit en français Adieu la Raison(6). figure la reproduction d’une œuvre relativement peu connue (7) de Marcel Duchamp :

Tu m’,

            Comme cela apparaît en filigrane dans plusieurs des hommages qu’écrivirent ses collaborateurs et amis : Jean Berstel, Dominique Foata, Maurice Gross, André Lentin, Dominique Perrin, Jean-François Perrot, la démarche de Marco fut souvent duchampienne, en particulier lorsqu’il sortait du domaine proprement mathématique, ce que ses connaissances encyclopédiques et ses expériences professionnelles variées lui permettaient évidemment.

            Curieusement, ils ne mentionnent pas un épisode, pourtant fort important, de son activité "normale". Jeune père de famille, son poste d’enseignant à Poitiers n’était guère rémunérateur. De mon côté, j’avais quitté le CEA pour Euratom où j’étais devenu Directeur de Recherches, au CETIS (Centre Européen de Traitement de l’Information Scientifique).

En 1961, Marco m’avait invité au MIT, où je rencontrai Noam Chomsky et participa ensuite à l’un des deux séminaires que j’organisai à Blaricum, au Centre Européen d’IBM, séminaire dont les communications furent publiés ensuite par North-Holland (8). On y trouve, page 118, son article fameux The Algebraic Theory of Context-Free Languages dont Chomsky, cosignataire, n’écrivit en fait que le premier paragraphe (Linguisticc Motivation).

La photo ci-après a été prise pendant l’un de ces séminaires. Marco est à l’avant-dernier rang, à droite. En bas et au centre, on reconnaît Evert Beth, l’éminent logicien qui était notre mentor. En haut et au centre on voit David Hirschberg, l’organisateur et je figure à gauche, au dessous du père De Bouvère, autre logicien de l’Université d’Amsterdam et au dessus de Paulette Février. Claude Berge, Louis Nolin, Albert Lentin, John McCarthy, Paul Gilmore, Arthur Burks, Abraham Robinson et plusieurs de mes collaborateurs participèrent aussi à ces séminaires dont la vedette (d’ailleurs fort discrète) fut évidemment l’impressionnant L. E. J. Brouwer, qui résidait à Blaricum.

J’eus ensuite la possibilité de faire nommer Marco "chercheur invité" et il passa un semestre à Ispra *(Varese), avec Ariati et le jeune Mahar. Il prit alors en main plusieurs chercheurs de mon équipe qui préparèrent leur thèse sous sa direction. Ce fut en particulier le cas de Jean Larisse et de Mario Borillo. C’est d’ailleurs ce dernier qui accueillit l’ouvrage collectif Mots dans la collection qu’il dirige, avec Frédéric Nef, chez  Hermès.

Le retour à Paris de Marco marqua, pour l’essentiel, la fin de son errance professionnelle et géographique : il devint un mathématicien connu, correspondant, puis membre de l’Académie des Sciences. Le "grand Docteur Markus" n’était plus, Pottar, Riguet, Brafffort s’étaient éloignés. Marco disparut aussi, après Mahar et Ariati, salué par de nombreux hommages que j’ai mentionnés plus haut.

Mais tout récemment, la réédition du Manuel de Saint-Germain-des-Prés, de Boris Vian (1) était accompagnée de la publication d’un ensemble de documents et dessins de Jean Suyeux où Marco est particulièrement présent : il figure avec le Major (et moi-même) dans la distribution de Lune de Miel, ainsi que dans Bagarre’s Club qu’il interprète avec Boris et qui est tourné sur le toit de la Maison des Sciences.

On retrouve ici un Marco "dadaïste", dont l’esprit se manifestera encore dans certaines de ses interventions beaucoup plus récentes et subtilement hétérodoxes sur L’intelligence artificielle (1981), La réforme de l’orthographe (1989), Les failles du Darwinisme (1996), l’Eloge de la complexité (1990), etc.. 

Invité pour une soirée de débats Physique/Philosophie à la Sorbonne, le 14 mai 1993, avec Gilles Cohen-Tannoundji, Etienne Klein, Bernard d’Espagnat, André Comte-Sponville, il administra à ses voisins subjugués une magnifique leçon de Physique et d’Epistémologie que je n’oublierai jamais, répondant ainsi pleinement au vœu de Gaston Bachelard (9) :

 Il faut rendre à la raison humaine sa fonction de turbulence et d’agressivité



1 Sur toute cette période, on lira avec profit l’article d’Alain Zalmanski : L’antimythe du Major, paru dans Le Correspondancier du Collège de ’Pataphysique N° 8, 1er gidouille 136 E.P. (15 juin 2009 vulg.), p.11, et, bien entendu, le manuel de Saint-Germain-des-Prés, de Boris Vian, paru en 1974 aux Editions du Chêne et réédité en 2009 par le Livre de Poche. Marco y est évoqué page 170.

2 Paulhan, malgré ses promesses, avait empêché Boris d’obtenir le prix de la Pléiade.

3 Dont l’une, qui résume l’intrigue, intitulée La polka des tortues, fut enregistrée par Les Quatre Barbus et est accessible sur Internet. Une version nouvelle, harmonisée et dirigée par Claire Marchand, mise en scène par  Vincent Tavernier et interprétée par les chœurs d’enfants et de jeunes du XIIIème  arrondissement de Paris a été enregistrée le 25 avril 2007 à l’Auditorium Saint-Germain et est disponible en DVD. En consultant Google, je me suis aperçu que beaucoup d’autres interprétations avaient vu le jour attribuées, parfois à un certain "Bradfort" ou à Jacques Tritsch, l’un des Quatre Barbus et l’arrangeur du groupe. La chanson figure au programme de la classe de 4ème  du Collège Notre Dame de Cosne sur Loire !

4 La première note aux Comptes-Rendus de Marco porte sur les "structures de Dedekind". Elle parut en 1943 !

5 Tout récemment un coffret de 82 chansons a été enregistré et édité

6 Seuil 1989

7 Ce fut sa dernière toile, en fait, peinte et dessinée en 1918 pour la collectionneuse Katherine S. Dreyer

8 P. Braffort et D. Hirschberg (editors), 1963.

9 Le surrationalisme, in Inquisitions, n°1, juin 1936, p.1. Cette revue fondée par Tristan Tzara, était publiée par les Editions Sociales Internationales. Il n’y eut qu’un numéro, particulièrement brillant !

 

 

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